Andrew Baines est un nouveau membre de Alpha Psi, un adepte réticent de la fraternité la plus populaire de l'université. Lors de la dernière nuit de la semaine infernale, Andrew complète son initiation avec un acte charnel visant à l'humilier. Mais au lieu de le dégoûter, la rencontre profondément érotique l'excite, de manière presque insupportable. Andrew est confus et torturé par sa réaction. Il ne veut pas penser aux pulsions terribles qu'il ressent, ni agir seul sur elles car sinon, elles risqueraient de le faire expulser de la fraternité et désavouer par sa famille. Tony Ginelli est un frère Alpha Psi, le destinataire de de l'initiation érotique d'Andrew. Lorsque Andrew devient son esclave pour les deux semestres suivants, maître Tony et le nouveau membre, deviennent colocataires dans tous les sens qui compte. Comme Tony découvre les secrets et les désirs de longue date d'Andrew, les amants vont forger un lien qui durera au-delà de l'université. Mais tandis que Tony aide Andrew à faire face à ses démons, il est terrifié à l'idée de révéler son propre secret. Un si sombre qu'il pourrait tuer l' homme qu'il aime.Nous nous retrouvons donc dans le milieu universitaire, puisque les héros se retrouvent face à face des années après, suite à un malheureux concours de circonstances et se remémorent cette époque. Ce livre est sombre, prenant et attachant. On se retrouve les tripes tordues par la pression qui pèse sur les épaules des deux héros.Mais Evangeline Anderson dresse ici un véritable tableau de ce que les familles attendent de leurs enfants ainsi que la société bien pensante. Et ce n'est pas beau... du tout. Elle décortique soigneusement tout ce qui peut empêcher un presque adulte de se développer et d'être à l'aise dans sa peau.1 - La pression de ces confréries universitaires auxquelles il faut appartenir à tout prix parce qu'elles permettent de gagner des points (!!!) dans le cursus universitaire, mais qui se permettent d'appliquer un bizutage à la limite de la torture, surtout lorsque le président de ladite fraternité est narcissique, sadique et hors de contrôle.2 - La pression des familles riches au nom glorieux dont les enfants n'ont pas vraiment la liberté de choisir de faire ce qu'ils veulent car ils sont condamnés à marcher dans les traces de leurs prédécesseurs et à reprendre les affaires familiales, pour ne pas déroger à la règle, quitte à se perdre totalement dans le processus.3 - La pression de la société pour qui être "soi" tout simplement qui cadre rarement avec les gens "bien pensants" et les dogmes des institutions auxquels nul ne doit déroger, à moins d'accepter d'être mis en marge de la société, voire totalement écarté.En conclusion, un livre très sombre, très poignant pour tous ceux et toutes celles qui aiment ce genre de lectures qui font réfléchir, mais rarement sourire. Sometimes I really enjoy reading a M/m romance. This one was really sweet and I did enjoy the story. However, I felt like the author could have left out the werewolf storyline and this book would have been complete without it. Don't get me wrong, no one loves paranormal more than me, but the paranormal elements in this story felt like an afterthought. Honestly, I hadn't really read the blurb on this book so I had no idea what it was about. I started reading and the story was moving along fine and then I find out one of the heroes is a werewolf. It just felt like the author finished a whole story and when it was done said "Oh, maybe I'll make this guy a werewolf." It felt so separate and unnecessary. Usually if the paranormal is going to be in a story I want to see more. i want to know more about the world they live in. I think if you took out the werewolf bits in this book there would be enough to fill about 5 pages. In my opinion you need to commit to have it in the story and then give me details or leave it out all together. Anyway, aside from that I did enjoy this story.
Do You like book Pledge Slave (2007)?
Todo pasó tan rápido que fue como waaaaaaat.¿Y el "BDSM"? Puras mamadas (literal).
—BookLover
4.5/5. it would have been amazing, but the ending was a bit lame.
—Nikki
It was a good story... until the "now" started...
—Nanc
