Après une immersion dans la Rome cruelle et décadente de La maîtresse de Rome, Kate Quinn nous transporte cette fois au cœur des conquêtes romaines sous l’empire de Trajan.« J’ai servi quatre empereurs. J’ai tué le premier, aimé le deuxième, le troisième a été mon ami, et le quatrième, j’aurais peut-être dû le tuer aussi. Je m’appelle Vercingétorix et j’ai une histoire à vous raconter. »Ainsi commence l’histoire incroyable de Vix, aussi palpitante que difficile, dont les parents coulent (enfin !) des jours heureux en toute clandestinité en Bretagne, dans les Brigantes plus précisément. Son destin sera sans pareil, avec des victoires et des défaites, et le mènera vers des aventures inimaginables.Sur sa route, il retrouvera la jeune et riche Sabine, fille de l’ancienne maîtresse de sa mère, avec qui il vivra une histoire passionnée mais impossible. Vix est devenu un homme fort et courageux pour qui se battre est une seconde nature. Aussi fort que son père, il tournera néanmoins le dos à la carrière de gladiateur pour embrasser celle de légionnaire. Sabine, elle, rêve d’aventures et de voyages et refusera de s’enchaîner à quiconque. Mais la vie et les règles de la Rome antique vont mettre bien des obstacles à nos deux héros pour arriver à leurs rêves.Ce tome est toujours aussi prenant et addictif, même si j’avoue avoir été plus intéressée par le monde des arènes du tome 1 que par les conquêtes militaires de celui-ci. Mais le côté très moderne du récit nous transporte encore une fois dès le début et on suit les histoires entremêlées les unes aux autres avec un réel plaisir. Tous les personnages sont parfaitement travaillés, et nous évoluons entre un empereur adulé de tous et vaillant conquérant, des femmes fortes, sournoises et courageuses, ainsi que des hommes aux ambitions différentes mais qui marqueront le destin de Rome.Les complots et les tromperies sont toujours de mises, comme sous le règne de Domitien, et l’auteure s’en sert pour rendre son histoire tragique avec ce petit quelque chose qui nous pousse à ressentir de la tendresse pour les personnages. Là où est la force de Kate Quinn c’est qu’elle nous fait pénétrer l’esprit des personnages, par le récit à la première personne par moment, en nous dévoilant les réflexions intimes de chacun et ainsi nous rendre plus proche d’eux, même des pires… Les descriptions sont toujours aussi sublimes, avec les combats, la vie dans un camp militaires, les tenues féminines et autres armures, etc… Véritable docu-fiction, ce roman nous immerge dans une époque passionnante où notre esprit se nourrit d’Histoire et d’histoires. Une vraie réussite encore une fois, et j’attends impatiemment la suite qui nous réserve encore des destinés hors du commun. Well…that was rather upsetting. I’m heartily disappointed by Empress of the Seven Hills, and possibly a bit angry too. This was a complete departure from the previous two books in the series, and not in a good way at all. Kate Quinn’s handle on entertaining historical fiction seems to have left the building in this book. Such a shame.Chronologically speaking, Empress of the Seven Hills takes place about five years after the first book in the series, Mistress of Rome, the main characters being Vix and Sabina, children of the two leading female protagonists in Quinn’s debut. Vix and Sabina were, unfortunately, dull and shallow, underdeveloped, and boring as all get out. Following their story was tedious and required a fair amount of effort, which is not how Quinn’s novels usually go for me.Likewise, the plot was rambling and basically nonexistent. The story appear to be going in one direction, but then stagnates somewhere before the halfway point, while the author just putzes around for another 300 pages until the startling final scene. I seriously felt like this book was going nowhere, had no direction, and was basically pointless. Every now and then, Quinn would throw in some dramatic happening, but it felt forced and half-hearted. A far cry from the typical dramafest I can usually count on from this author.And then…the end. Oh boy. The real question here is “WHAT ending?”, because that wasn’t a conclusion at all. The plot (whatever plot there was) is not resolved, and the last scentence completely gives the impression that there will be more coming up. But there wasn’t. I read the last sentence then flipped the page and there was “Historical Note” right at the top. Um, what? Come on. This is not an acceptable conclusion. No way.So. Empress of the Seven Hills was a let-down. I didn’t like any of the characters (and rather disliked the ones I was supposed to love), thought the plot was a non-plot and the ending a non-ending. Stylistically and conceptually, this is very different from Quinn’s other Rome-centric novels, but not in a good way. I’m very disappointed with this, and I really consider it to have been a waste of my time.
Do You like book L'Impératrice Des Sept Collines (2012)?
This is my favorite of Kate Quinn's; it had everything I was wanting and then some.
—quenicknoexiste